Simply The Bike – Le guide malin pour mieux acheter en ligne https://www.simplythebike.co.uk Thu, 11 Sep 2025 18:31:08 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.8.2 https://www.simplythebike.co.uk/wp-content/uploads/2025/07/cropped-icon-32x32.png Simply The Bike – Le guide malin pour mieux acheter en ligne https://www.simplythebike.co.uk 32 32 Guide d’achat : comment bien choisir un casque de vélo connecté en 2025 https://www.simplythebike.co.uk/guide-dachat-comment-bien-choisir-un-casque-de-velo-connecte-en-2025/ https://www.simplythebike.co.uk/guide-dachat-comment-bien-choisir-un-casque-de-velo-connecte-en-2025/#respond Thu, 11 Sep 2025 18:23:30 +0000 https://www.simplythebike.co.uk/guide-dachat-comment-bien-choisir-un-casque-de-velo-connecte-en-2025/ Un casque de vélo, c’est déjà un indispensable pour la sécurité. Mais en 2025, beaucoup de cyclistes ne se contentent plus d’un simple bout de plastique protecteur. Les casques connectés ont pris une place énorme sur le marché : communication mains libres, feux arrière intégrés, détection de chute… parfois on se demande si on n’achète pas un mini ordinateur plutôt qu’un casque. Alors, comment s’y retrouver ? Quels critères vraiment regarder avant de passer à la caisse ?

J’ai passé pas mal de temps à comparer les modèles (et même à en tester quelques-uns sur mes trajets quotidiens). Franchement, il y a de tout : du gadget un peu cheap au vrai bijou technologique. Pour un bon tour d’horizon des équipements sportifs qui valent le coup, je recommande souvent un détour par https://planete-sport.fr : c’est une mine d’infos pour voir ce qui se fait de mieux côté accessoires sportifs et high-tech.

La sécurité d’abord, toujours

Ça peut paraître évident, mais certains casques misent tellement sur les options connectées qu’on en oublierait presque le rôle numéro un : protéger la tête. Vérifie toujours que le casque est certifié CE ou équivalent. Ensuite, regarde le système de maintien : une molette de réglage bien ferme, des sangles confortables qui ne cisaillent pas le cou. Perso, je préfère les modèles avec une mousse intérieure un peu plus épaisse, parce qu’après 40 minutes de pédalage en plein soleil, la différence de confort est énorme.

Les fonctions connectées utiles (et celles qu’on peut zapper)

Un casque connecté peut intégrer plein de choses : haut-parleurs Bluetooth pour écouter sa musique ou passer un appel, LED arrière pour être visible de nuit, voire système de détection de chute qui envoie une alerte à un contact si tu tombes. Tout ça, c’est franchement pratique. Par contre, certains casques intègrent des écrans HUD (affichage dans la visière)… et là, honnêtement, je trouve que c’est gadget pour 99% des cyclistes urbains. On a déjà assez de voitures, de piétons, de feux rouges à gérer sans avoir une mini-interface devant les yeux.

Autonomie et recharge : ne néglige pas ce point

C’est bien beau d’avoir des LED et du Bluetooth, mais si ton casque rend l’âme après 2h, c’est vite frustrant. Aujourd’hui, les bons modèles affichent entre 8 et 12 heures d’autonomie, parfois plus si tu n’utilises pas la musique. Perso, je recharge mon casque en même temps que mon téléphone, comme ça je ne me retrouve jamais en rade au milieu de la ville. Petit détail à vérifier : le port de recharge. USB-C, c’est le top. Micro-USB, c’est déjà un peu vieillot en 2025.

Confort et poids : ça change tout

Un casque trop lourd, et tu vas vite le laisser à la maison (et ça, c’est le pire). Les bons casques connectés tournent autour de 350 à 450 g. Au-delà, tu sens vraiment la différence dans la nuque. Essaye aussi de vérifier la ventilation : si tu roules en été, quelques aérations bien placées font toute la différence. Je me suis déjà retrouvé à pédaler en août avec un casque mal ventilé : une vraie étuve. Plus jamais.

Budget : combien mettre en 2025 ?

Alors, parlons argent. Les casques connectés sérieux commencent autour de 120-150€. En dessous, tu tombes souvent sur des jouets déguisés en casque. Entre 200 et 300€, tu trouves déjà d’excellents modèles avec toutes les fonctions utiles (éclairage, Bluetooth, détection de chute). Au-delà de 400€, on est sur du haut de gamme avec des matériaux premium et des options parfois un peu superflues. Perso, je trouve que la tranche 200-250€ est le meilleur compromis en 2025.

Alors, lequel choisir ?

Tout dépend de ton usage. Si tu es un cycliste urbain du quotidien, un casque avec LED intégrées, Bluetooth et bonne autonomie, c’est parfait. Pour les longues sorties sportives, mise sur un modèle léger avec une bonne ventilation, quitte à sacrifier un peu les gadgets. Et si tu es du genre prudent (ou si tu roules souvent seul la nuit), la détection de chute avec alerte automatique peut être rassurante.

En clair, le bon casque connecté, ce n’est pas celui qui fait “tout”, mais celui qui fait bien ce dont toi tu as besoin. Alors pose-toi la question : qu’est-ce qui compte le plus pour toi ? La sécurité, la visibilité, la musique, ou un peu de tout ? Une fois que tu as ta réponse, le choix devient beaucoup plus simple.

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Vêtements de pluie pour cyclistes urbains : notre sélection anti-galère https://www.simplythebike.co.uk/vetements-de-pluie-pour-cyclistes-urbains-notre-selection-anti-galere/ https://www.simplythebike.co.uk/vetements-de-pluie-pour-cyclistes-urbains-notre-selection-anti-galere/#respond Wed, 30 Jul 2025 14:51:43 +0000 https://www.simplythebike.co.uk/vetements-de-pluie-pour-cyclistes-urbains-notre-selection-anti-galere/ On ne va pas se mentir : rouler sous la pluie en ville, c’est souvent la galère. Les pavés glissants, les voitures qui t’éclaboussent à la première flaque, le jean trempé jusqu’aux os… Bref, c’est pas franchement une partie de plaisir. Et pourtant, quand on a le bon matos, ça change tout. Vraiment tout.

Dans cet article, je te partage une sélection de vêtements de pluie pensés pour les cyclistes urbains. Pas les trucs pour grimper le Ventoux ou faire du VTT dans la boue. Non. Des fringues utiles, stylées (autant que possible), et surtout efficaces quand tu dois pédaler sous la flotte pour aller bosser ou rentrer chez toi. Et si tu veux compléter ton look avec des accessoires malins, y’a pas mal de bonnes idées sur https://accessoire-velo-electrique.fr, ils ont des trucs bien pensés pour la ville.

Le poncho de pluie : le meilleur pote des trajets courts

Franchement, j’étais sceptique au début. Un poncho à vélo ? Sérieux ? Et puis j’ai testé celui de Vaude – le modèle Valdipino, pour être précis – et j’ai compris. C’est léger, ça se plie dans une poche, et surtout : tu l’enfiles en 10 secondes chrono. Quand t’as une averse surprise à 8h03, t’es content de pas devoir sortir ta panoplie complète façon randonneur de haute montagne.

Petit plus : certains ponchos sont prévus pour accrocher au guidon (avec des petits clips ou des élastiques), histoire qu’ils te recouvrent aussi les cuisses. Parce que pédaler avec les genoux trempés, c’est non.

Le pantalon imperméable : à enfiler au dernier moment

Tu connais le coup du jean qui sèche mal et garde une odeur de chien mouillé toute la journée ? C’est là que le surpantalon imperméable entre en scène. Perso, j’utilise le modèle « Rainlegs » depuis l’automne dernier. Il couvre juste le devant des jambes – pas besoin de te changer entièrement – et c’est super rapide à mettre.

Si tu préfères un modèle plus complet, le pantalon Hock Hi-Tech Rain Pants est une vraie armure contre la pluie. Et il est assez respirant pour ne pas finir en sauna. Attention juste à la taille : ça taille grand. J’ai dû échanger le mien, alors prends une taille en-dessous si t’es entre deux.

La veste de pluie vélo urbaine : l’indispensable

Là, on entre dans le dur. Trouver une veste de pluie qui soit vraiment imperméable, respirante, et pas trop moche… c’est pas si simple. La plupart sont soit ultra-techniques (bonjour les couleurs fluo), soit trop lifestyle (bonjour les manches mouillées au bout de 15 minutes).

Mon gros coup de cœur cette année : la veste « Commuter » de chez Rapha. Elle est sobre, bien coupée, et surtout : elle résiste aux averses sérieuses. Genre orage sur le périph’, testé et validé. Bon, elle pique un peu niveau prix (environ 200 €), mais si tu roules tous les jours, ça vaut clairement le coup.

Et si tu veux une alternative plus abordable, la veste Decathlon « City 500 » fait bien le taf. Moins stylée, un peu plus bruyante (oui, le bruit du frottement plastique, tu vois ?), mais elle te garde au sec.

Les pieds, ces oubliés de la pluie

On en parle des chaussures détrempées ? Non parce que pédaler avec les chaussettes qui font “flotch flotch” à chaque feu rouge, c’est pas la joie. Deux options : soit tu passes aux surchaussures imperméables (genre celles de Velotoze ou Tucano Urbano), soit tu investis dans des chaussures conçues pour la pluie.

Pour la ville, j’ai récemment testé les Chrome Storm 415. Look urbain, semelle adhérente même sur bitume mouillé, et surtout : mes pieds sont restés au sec après 30 minutes sous la pluie. C’est rare.

Un mot sur la visibilité : quand il pleut, on ne te voit pas

C’est bête, mais sous la pluie, tout devient flou. Les pare-brises sont couverts de gouttes, les vitres embuées, et toi, pauvre cycliste tout noir dans ta veste technique… invisible. Pense à ajouter des éléments réfléchissants. Vraiment.

Certains vêtements en intègrent (la veste Rapha en a discrets mais efficaces), mais sinon tu peux coller des bandes réfléchissantes sur ton sac, ton casque, ou même tes roues. C’est pas hype, mais c’est vital.

Alors, prêt·e à affronter la prochaine averse ?

Se protéger de la pluie à vélo, c’est pas juste une question de confort. C’est ce qui peut faire la différence entre un trajet agréable (même mouillé !) et une journée pourrie dès 8h15. Le bon combo, selon moi ? Un poncho pour les imprévus, une vraie veste pour les jours de grosse flotte, et toujours de quoi garder les jambes et les pieds au sec.

Tu utilises déjà un vêtement ou un accessoire qui te sauve la mise sous la pluie ? Balance en commentaire, je suis curieux. On galère tous un peu, autant s’entraider.

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Vélo électrique ou musculaire : lequel choisir pour les trajets quotidiens ? https://www.simplythebike.co.uk/velo-electrique-ou-musculaire-lequel-choisir-pour-les-trajets-quotidiens/ https://www.simplythebike.co.uk/velo-electrique-ou-musculaire-lequel-choisir-pour-les-trajets-quotidiens/#respond Wed, 16 Jul 2025 11:00:14 +0000 https://www.simplythebike.co.uk/velo-electrique-ou-musculaire-lequel-choisir-pour-les-trajets-quotidiens/ Si tu t’es déjà retrouvé, un matin de pluie, à transpirer à grosses gouttes sur une côte un peu trop raide avec ton bon vieux vélo classique… tu t’es sûrement déjà posé la question : est-ce qu’un vélo électrique, ce ne serait pas quand même plus simple ? Ou au contraire, peut-être que tu fais partie de ceux qui ne jurent que par la bonne vieille pédale, la vraie. Alors, entre le vélo musculaire (aka le vélo classique, sans assistance) et le vélo électrique, qu’est-ce qui est le plus adapté pour un trajet maison-boulot ? Ou pour les courses, ou juste pour aller boire un café sans arriver trempé et hors d’haleine ?

Avant de trancher, on va poser les bases. Il y a de vrais arguments pour les deux camps. Et puis, au passage, si tu cherches à rouler en style (oui, c’est permis même en transpirant), tu peux jeter un œil à https://www.marieetrosealice.com, une marque qui propose de jolis accessoires et vêtements vélo pensés pour les citadines qui roulent chic. Petite parenthèse mode, mais ça compte aussi.

Pourquoi on aime (toujours) le vélo classique

Le vélo musculaire, c’est le vélo comme on l’a toujours connu. Tu pédales, ça avance. Pas de batterie, pas d’écran, pas de moteur : zéro dépendance. Et franchement, pour les trajets courts et plats, ça fait carrément le job. C’est léger, maniable, tu peux le porter dans les escaliers sans finir avec une hernie discale. En moyenne, un vélo de ville musculaire tourne autour de 12-14 kg, contre 20 à 25 kg pour un VAE (vélo à assistance électrique). Tu sens la différence au premier trottoir à monter.

Et puis niveau entretien ? C’est minimal. Pas de câbles électriques, pas de charge à prévoir, pas de pièces électroniques à remplacer dans trois ans. C’est économique aussi : tu trouves des bons modèles autour de 300 à 600€, alors qu’un VAE sérieux commence souvent au-dessus de 1 200€.

Mais le VAE, c’est quand même une révolution (on va pas se mentir)

Ceux qui disent que c’est “de la triche” n’ont clairement jamais fait 15 bornes le matin avec un vent de face. Un vélo électrique, c’est pas une mobylette. Tu pédales quand même, mais t’as ce petit coup de boost qui fait toute la différence. Franchement, les côtes deviennent anecdotiques. Même avec des sacoches bien pleines ou un gosse à l’arrière, t’as l’impression de voler.

Pour les trajets quotidiens de plus de 5 km, surtout si t’as des montées, le VAE change la donne. Tu gagnes du temps, tu transpires moins (vraiment beaucoup moins), tu arrives au boulot en mode frais et dispo. Et ça, c’est précieux.

Autre point : si tu veux remplacer une voiture en ville, c’est clairement plus envisageable avec un vélo électrique. Tu peux rouler chargé, aller plus loin, sans te dire “pfff j’ai pas le courage aujourd’hui”. En plus, certaines marques comme Moustache, Cowboy ou Decathlon ont vraiment bossé le design ces dernières années. On n’est plus du tout sur le look “engin de chantier”.

Quelques questions à te poser avant de choisir

  • Quelle est la distance réelle que tu fais au quotidien ? En dessous de 3 km, le musculaire suffit largement. Au-delà de 7-8 km, le VAE devient intéressant.
  • Est-ce que ton trajet est vallonné ? Les côtes changent tout. Même une petite montée peut ruiner ton énergie dès le matin.
  • Tu as un endroit pour recharger ton vélo ? Si t’habites au 4e sans ascenseur, ça peut devenir vite pénible (et lourd).
  • Tu veux faire du sport ou juste arriver à l’heure et sans sueur ? Le VAE te laisse le choix… mais avouons-le, on finit souvent par se laisser porter.

Mon verdict (et c’est très personnel)

Perso, j’ai roulé des années en vélo classique. J’adorais la simplicité, l’entretien facile, le côté “je dépends de personne”. Mais depuis que j’ai un VAE, je dois reconnaître que je l’utilise beaucoup plus souvent. Même les jours de pluie. Même quand j’ai la flemme. Et ça, ça change tout.

En vrai, il n’y a pas de réponse universelle. Mais si tu veux t’y mettre sérieusement pour aller bosser tous les jours sans arriver rincé, le vélo électrique est un vrai game changer. Et si ton budget ou ton trajet ne le justifie pas, un bon musculaire bien équipé (avec des pneus corrects, un bon éclairage, une selle confortable), ça reste une valeur sûre.

À la fin, le bon choix, c’est celui qui te donne envie d’enfourcher ton vélo plus souvent. Et ça, seul toi peux le sentir.

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Quelle sacoche choisir pour un trajet vélo-boulot ? Nos 7 modèles préférés https://www.simplythebike.co.uk/quelle-sacoche-choisir-pour-un-trajet-velo-boulot-nos-7-modeles-preferes/ https://www.simplythebike.co.uk/quelle-sacoche-choisir-pour-un-trajet-velo-boulot-nos-7-modeles-preferes/#respond Thu, 03 Jul 2025 13:41:32 +0000 https://www.simplythebike.co.uk/?p=27 Tu fais tes trajets quotidiens à vélo ? D’abord, bravo. Ensuite, tu galères peut-être encore avec le bon sac, la bonne fixation, ou simplement un modèle qui ne ressemble pas à une sacoche de facteur des années 80. On a testé, comparé, fouillé les gammes pour te proposer une sélection de 7 sacoches vélo vraiment pratiques pour aller bosser. Avec du style, du sens, et surtout : les mains libres.

1. Ortlieb Back-Roller Urban – La valeur sûre, version lookée

Franchement, c’est dur de faire plus fiable qu’Ortlieb. Cette version Urban, en toile enduite façon tissu, garde tout ce qui fait le succès des Back-Roller (étanchéité béton, fermeture rouleau, fixation solide), mais avec un look moins technique, plus “je vais au bureau, pas à un trail”.

Elle fait 20 litres, se clipse et se déclipse en 2 secondes. Testée sous la pluie à Nantes : rien n’a pris l’eau, même pas les feuilles volantes dans la pochette intérieure.

2. Chrome Industries Urban EX 2.0 Pannier – Pour les trajets en mode urbex

Si t’aimes les sacoches qui envoient du style façon messenger bag de Brooklyn, tu vas adorer celle-là. Hyper robuste, waterproof sans blague, et surtout : transformable en sac à dos discret une fois descendu du vélo.

Le système de fixation est un poil rigide au début, mais une fois dompté, c’est ultra fiable. Par contre, elle est plus lourde que la moyenne – logique vu le matos. À privilégier si t’es du genre à transporter un laptop, un tupperware, un bloc-notes A4 et une clé de 15 « au cas où ».

3. Vaude Aqua Commute – Éthique, pratique et increvable

Vaude, c’est la marque allemande qui bosse dur pour l’éco-conception. Cette sacoche est fabriquée sans PVC, et pourtant, elle est aussi imperméable que ses concurrentes. Gros plus : la bandoulière intégrée, bien pensée pour passer du vélo au métro sans prise de tête.

Le design est sobre (trop, peut-être ?), mais super bien fini. Les fixations se règlent sans outil, ce qui est franchement cool si t’as une galerie un peu atypique ou plusieurs vélos.

4. Brooks Scape Pannier Small – Le style british, version compact

OK, c’est pas donné. Mais si tu veux une sacoche vélo avec du cachet, du vrai, celle-là coche toutes les cases. 10 litres seulement, mais amplement suffisant pour le strict nécessaire du quotidien. Le tissu technique est costaud, déperlant, et le tout se fixe proprement sur un porte-bagage arrière.

On la recommande pour les trajets courts, ou si t’es minimaliste (ou si t’as un ordi de 13 pouces, pas un tank).

5. Decathlon Riverside 500 – La bonne surprise à petit prix

Oui, une sacoche à moins de 30 euros peut faire le job. Celle-ci est légère, résistante à l’eau (pas étanche, attention), et assez grande pour y glisser un ordi portable dans une housse, une gourde et des affaires de rechange.

Bon, on est loin du design premium, mais elle tient très bien sur le vélo, même en pavés (testée à Lille, en hiver, vent de face…). Pour un usage occasionnel ou un budget serré, c’est une super option.

6. Thule Shield Pannier 13L – Compacte mais ultra protégée

Thule, c’est un peu les rois du transport malin. Leur sacoche Shield 13L est hyper clean : look discret, 100% étanche, avec des réflecteurs bien intégrés. Elle se fixe sans galérer, et son format est top si t’as pas besoin de transporter ta maison tous les jours.

Perso, je l’utilise pour les jours “ordi + carnet + chargeur + lunchbox”. Et elle n’a jamais bougé, même sur les pavés des quais de Seine.

7. Apidura City Backpack – L’ovni du lot, sac à dos pensé vélo

Alors oui, c’est pas une sacoche classique. Mais ce sac à dos mérite sa place ici. Pourquoi ? Parce qu’il est pensé pour les cyclistes urbains, avec une forme profilée, des renforts anti-pluie et une solidité à toute épreuve. Et surtout, il ne pendouille pas. Même en danseuse.

Le seul hic : il coûte un bras. Mais si tu cherches un sac hybride, vélo + marche + coworking, il peut remplacer avantageusement une sacoche + un sac classique. Et c’est hyper bien fini.

Alors, quelle sacoche est faite pour toi ?

Ça dépend de ton usage, clairement. Si tu veux du costaud et étanche, fonce sur Ortlieb ou Vaude. Si le look compte autant que la praticité, Chrome ou Brooks feront la différence. Et si t’as juste besoin d’un truc fonctionnel pour démarrer, la Decathlon t’ira très bien.

Pose-toi les bonnes questions : est-ce que je veux garder le sac sur le vélo ? Est-ce que je marche avec ensuite ? J’ai besoin d’un gros volume ou d’un format compact ?

En tout cas, une chose est sûre : une bonne sacoche peut vraiment changer ton quotidien à vélo. Et franchement, quand il pleut des cordes ou que t’es déjà en retard, tu seras content de pas avoir ton ordi en vrac dans un sac trempé…

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